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"Jean Pitrau, a rural militant" (written in French in 1975)

  • The priest Jean-Louis Ager, who resided in the Atharratze elderly residency in spring 2012, published this article shortly after the death of Johañe Pitrau. They had been friends with each other. Note, we offer the document as it is in French, as supplementary information to the main Larrun report.

06 March 2012

Par Monsieur l’Abbé Jean-Louis Aguer

“Nous l’avons tué... Nous sommes des assassins!” C’était, in ce ₡-neuf Juillet 1975, the brutale confession et émouvante d’un ami de Jean Pitrau, au sortir de la messe des obsèques. Dans une église ondée, la cérémonie, sobre mais recueillie venait de s’achever... Et tandis que au milieu des yeux embués, l’immense cortège se dirigeait vers le cimetière de Sorholus, chacun pouvait méditer les paroles de l’Ecriture entendues au cours de la cérémonie: “Ce que vous aurez fait plus petit d’entre les miens, c’est à Moi que vous l’aurez fait”.

Cortège impressionnant! The Dernière victoire de Jean! On disait de lui qu’il était cause de divisions, qu’il était isolé, seul! Et voici que par centaines ils étaient tous là: dirigeants d’organismes officiels, responsable d’associations ou groupement d’campesteurs, prêtres de Soule ou d’ailleurs, cultivateurs de visage reconiné civiliné venus d’Ossau, Aspe ou Garazi, objecurs. Etrange puissance d’un jeune cultivateur qui, par delà la mort, conviait les hommes, avec lesquels il s’était parfois durement affronté, à s’une pour de nouveaux combats.

In voyant une foule si nombreuse venue d’horizons si divers, certains ont cru devoir s’indigner et crier “à la récuperation”. The reputation and prestige of Jean n’appartiennent à personne. Tous us jugements sont si dérisoires face à la brutale réalité qui doit nous conduire à un loyal examination of conscience: Nous sommes des assassins. Nous qui avons miné les forces d’une constitution qui nous paraissait aussi rude que ces pentes escarpées de Botchu sur lesquelles, quelques jours avant sa mort, Jean Pitrau travaillait pour frayer un passage mois dangereux aux breeds du cayolar d’Anardé. Oui, nous avons tué un homme!

Weasel

Il avait 45 ans: l’âge où l’homme mûri par l’expérience, acizquierdo t sa plénitude et sa pleine efficacité. Il était né, en effet, en 1929, à la ferme Erbinia, bâtie sur un des éperons qui prolongent les pentes du Mont Arhane. Dans le bouillant organisme de Jean se mêlaétrient angement le sang basque et le sang béarnais de sa grand’mère. La Est-ce la raison pour laquelle Jean qui parlait avec tant d’aisance le souletin et le béarnais, était attiré aussi par les problèmes de Garazi que par ceux du Baretous, d’Aspe ou même d’Ossau?

Peut-être es-ce aussi parce que le splendide panorama qu’il découvrait de sa chambre, unissait en un seul horizon, l’immense zone d’agriculture montagnarde: toutes les vallées pyrénéennes semblent, en effet, vers cette ferme qui'éle.

C’est d’ailleurs ce même panorama qui s’était offert au petit Jouhagné qui se rendait (sans grande envie…) à l’école d’Arhagné en suivant le sentier montagnard qui surplombe la vallée..

You understand the seule école qu’il fréquenta. À 14 ans, il s’attelait au dur travail de la ferme, trouvant autour de lui, l’exemple de parents très ouverts, pour lesquels, déjà, la culture humaine et le cadre de vie étaient importants. Either qu’isolée, alors, en pleine montagne, Erbinia n’avait rien à envier aux belles maisons de nos bourgs: des fleurs à profusion, des planchers rutilants sentant la cire fraîche, d’énormes sparagus soavèés amour, aceesgres.

C’est dans cette chaude atmosphère familiale que Jean, tout en s’activant aux travaux de la ferme, se lança dans la réflexion et l’étude. Amaent, il entenait déjà combien l’instruction et la culture manquaient trop souvent aux campesteurs. Aussi, s’inscrivit-il d’pour 3 années, puis à nouveau, pour trois autres, aux cours par correspondance du Père Fort de Purpan. Chaque matin, sa mère le découvrait, levé bien avant l’aube, perdu dans un fouillis de cours polycopiés ou de ramettes de ce “papier-re ministre” auquel il demeura fidèle toute sa vie.

Au retour de son service militaire, il s’attacha avec plus d’ardeur encore à ses études tout en ne négligeant point les applications concrètes et pratiques autour d’Erbinia. Ce double travail ne l’empchait point d’approfondir sa mission d’homme et de chrétien, en militant dans cette J.A.C. qui l’avait éveillé aux problèmes du monde rural. Il suivait avec assiduité les week-ends de réflexion ou de retraite organisés d’amplius l’abbé Sallabert, puis par l’abbé Pierre Charriton ou l’abbé Thomas Uthurry, son voisin et ami. Rien ne l’arrêtait: Je me souviens, in particulier, de cette retraite à Aguerria, à laquelle, par un temps de neige, Jouhagné se rendit, à pied, à travers la Madeleine et la série de côteaux qui conduisent à Mauléon. “Ça m’a aidé à réfléchir davantage” distia-il à ceux qui s’étonnaient de son courage et son endurance.

Syndicaliste

Et ce science bientôt le combat pour le syndicalisme agricole auquel il voulait apporter un renouveau d’audace et de jeunesse. Well vite l’agacement s’empara de lui. Il lui semblait, en effet, que le syndicalisme, jeune et moins jeune, était trop préoccupé par les problèmes de la plaine alors que la montagne était atteinte d’asphyxie et de mort lens.. Sentant que sa voix n’était pas assez e’coutée, ni par les responsable d’associations, ni même par amis campesteurs de Soule, il voulut mete chacun en frente de la réalité, en lançant la fameuse “enquête montagne”, qui devait trone queine

C’est d’ailleurs ce dernier problème qui poussa Jean Pitrau à s’engager dans la politique (il no pouvait estar ce mot.. dans la bouche des politiciens) pour siéger, durant 12 ans, au Conseil municipal de Tardets et le représenter au sodicat. The presence of the former Soviet Union and the former Soviet Union, of the former Soviet Union, of the former Soviet Union, of the former Soviet Union, of the former Soviet Union, of the former Soviet Union, of the former Soviet Union, of the former Soviet Union. Il n’hésitait pas d’ailleurs à “mettre la main à la pâte”, bouleversant les plans savamment établis ou exposant sa vie pour aller, avec son voisin, désamorcer les mines qui se révatrop danient euses...

Lorsque la Madeleine, qui lui était si chère, facultatives à moitié détruite par un vent violent, c’et Jean encore qui traça, avec Monsieur Lissonde, te belle route d’accès qui devait condules matéaux jusqu’eau infierd’avait. C’est lui également qui stigmatisa les énergies pour restaurer en un temps record, (3 mois), le sanctuary qui semble veiller sur sa ferme.

L.A.S.A.M.

Et le combat continuait. Rendant compte que le pays ne saisissait pas encore assez clairement le problème humain de la montagne, il lança l’A.S.A.M., l’association au service de l’agriculture de montagne, dont il devint le premier président ident. Pour créer les sections de l’ASSAM et attirer l’attention des pouvoirs publics, il se jeta, jour et nuit, dans une harassante campagne qui le conduisait de Baigorri y à Laruns ou Paris en passant par Pau, Arette, Accous ou l’austère Zac. Il était là, entièrement available, toujours prêt à répondre au moindre appel, n’hésitant pas à aller de nuit, animer telle réunion ou tel déu au volant de sa vieille 2CV qui portait, sur seas flancs, les stigmates du martyque lui faisait.

Comme s’il sentait que sa vie serait brève, il multipliait les sessions de formation (il avait réussi à avoir brillamment son ôme officiel d’animateur), les interviews à la radio, à la télé, les faces à la préparation desquels il passponders des documentites rès. Oh, uh! Ses démarches n'étaient pas toujours couronnées de succès. Sans doute, trouva-t-il toujours auprès de lui des amis sûrs et dévoués (et je pense à ses voisins de Tardets, de Barcus ou d’ailleurs, mais, petit à petit, tous taquux que dérgeaap les inities militant odidor de lactes. “C’est un révolutionnaire... a dangereux gauchiste... Et condude fait, tous ceux qui souffraient de la société actuelle ou récusaient sa façon de vivre et d’agir, groupaient autour de Jean: amoureux de la nature, membres de Jeunesse nature, rée... Tous montaient vers le havre de paix qu'était ERBINIA. Tous venaient en volontaires, animés des meilleures intentions mais parfois incapable of s’accrocher au dur travail de la terre, préferant la discussion au maniement de la fourche ou de la pioche. Jean accepts them, écoutait, encourageait them. Quelle patience pour notre bouillant militant! Et que de dévouement pour Anita sa femme qui, avec un courage admirable, avait à faire face à cette invasion. Il n’est pas de tout repos d’être la femme d’un militant, surtout lorsqu’il s’appelle Jean Pitrau. Chacun représentente aujourd’hui ce, que’en maîtresse de maison avisée, elle a eu a supporter de soucis, de fatigues et de souffrances en s’ant au travail de son mari. Nous somaussi tous coupables envers celle qui, le soir venu, avait à passer des heures d’hospitétude et d’attente parce que, nous –avec parfois dévolture- nous avions appelé à une de ces réplions qui, noaisus parsaient sie, qui multise paraíent. Nous avtem besum of the caution of cet homme exceptionnel. Chère Anita, et vous Françoise et Maité, ses enfants, pardon...

Homme d’action

C’est avec le tremblement de terre d’Août 1967 que Jean donna la mesure de ses capacités d’homme et d’organisateur, galvanisant les énergies, allant au secours de ceux qui lui paraíssales plus faibles, de ceux qui se sentaient incapable d’établir a dossier. They are facultative attention well attirée par le problème des fermes isolées de Ste. Engrace, Montory, Arette, Frontera ou d’ailleurs qui voyaient leurs efforts de reconstruction retardés par la manque de routes ou l’assèchement des sources. Il y avait aussi de une coltes à sauver avant l'hiver! Jean Pitrau lança, alors, avec le concours d’autres associations, le service d’entraide aux sinistrés, appelant toutes les bonvolontés à assurer vones des journées de travail service des plus deshérités. Il se trouva, bientôt, à la tête d’une arimée de plus de 700 volontaires. Pistes accessible aux tracteurs, captations of sources nouvelles, adductions d’eau, implantation of nouveaux hangars agricoles, accaparèrent les forces de cette foule anonyme et généreuse venue aussi du Bic-Bilh than de St. Pée-sur-nivou. Et pourquoi ne point mentionner les suggestions qu’au sein du Secours Catholique il prodiguait pour venir le plus rapidement et le plus rationnellement possible au secours de ceux qui étaient les plus démunis!

Optimist

C’est peut-être à l’occasion de ce séisme que se manifesta un des côtés les plus surprenants de la personnalité de Jean Pitrau! On in faisait a rabat... On l’accusait de noircir le tableau de l’agriculture de montagne, de décourager les jeunes, etc. Bref, c’était pour certains le prophète de malheur... semblable à ceux qui, aujourd’hui, à travers tout le Pays Basque no savent plus que se lamenter inutilement sur les malheurs du Pays et plus particulièrement de la SOULE, devenue, sous leur plu.

No, Jean n’était pas pessimiste. Il n’aurait pas mené, sinon le combat entrepris. Il voulait faire encre conscience des problèmes de la montagne. Il voulait un sursaut d’énergie, et, souvent il s’est interrogé pour savoir si son action ne menait pas au découragement. Au elongación de lui-même, il se voulait optimiste e je me souviens encore de cet “accrochage” avec le Père Grandin [Paul Grandin, Dominico friar, leader of the Tourette convent, erected by Le Corbusier de Lyon, one of the signatories that has promoted dialogue between Christians and maxistas. Le renamed sociologue lyonnais faisait une enquête sur le pays: jusque là, il n’avait entque les doléances de ceux qui estimae that tout allait mal. Le Père Grandin soudain ébloui par l’optimisme réaliste de Jean Pitrau qui, tout en mesurant les difficulties de la tâche ait ait avec clarté quéteres les raisons de sa confiance: prise de conscides problèmes les jeunes, création derers de presès “Venez à Paris... Vous aurez une bonne situation.. et puis on rigole etc..." Le Père Grandin clariétonne par ce courage et cette confiance dans l’avenir qui faisaient aussi depart from the personnalité of Jean Pitrau. On l’oublie trop aujourd’hui...

Jean donnait d’ailleurs lui-même l’exemple de la confiance en défrichant de vastes étendues, en édifiant une imposante bergerie ou en se lançant dans nouvelles cultures. Sa soif de connaissance s’étendait à tous les domaines. On remarquait sur sa table de travail aussi bien les revues professionnelles que “Science et avenir” qu’il épluchait minutieusement ou la “Vie Catholique” qu’il affectionnait particulièrement.

Des hommes meilleurs

They are esprit était toujours ouvert à la recherche. On l’a I compared to a nouveau Gustave Thibon... [French Labour and Philosopher, Saint Martin for Tests 1903-2001]... Et de fait, jean Pitrau avait sa philosophie de la vie, who names journalistes résumaient en ces lignes tirées de l'une de ses conférences: “Il y a ceux qui conjugent le verbe Avoir et ceux qui conjugent le verbe Etre”. Pour Jean, L’Etre comptait plus que l’Avoir et il appliquait concrètement ces principes dans sa vie en vivant dans la pauvreté absolue. “Il faisait toujours passer les affaires des autres avant les siennes ou celles de sa famille” confiait une de ses voisines. Il lui était alors plus facile de dénoncer les profiteurs et de lutter, non pont tellement pour une société meilleurs, mais pour des hommes meilleurs. “La première réforme des structures à faire, c’est celle de nos cerveaux” explained qutia-il au journaliste de Claude Jouin venu faire un reportage en Soule pour Agri 7 jours et Panorama. “Nous n’avons plus le droit de laisser les femmes et les enfants travailler comme des bêtes”.

Pour lui, il ne s’agissait pas xemd’assister des hommes que de réveiller, en eux, un dynamisme assoupi, pour les lancer dans le combat de la vie. “L’assisté d’hier doit devenir le militant de demain”.

Et de fait, grâce à l’ASAM, beaucoup ont mieux réalisé le pourquoi de la lutte pour la survie des montagnes. Les théories savantes sur l’organisation de l’agriculture, les investissements, les bilans d’exploitation peufort bien s’appliquer à l’agriculture de plaine. Mais, dans la montagne, les problèmes sont differents. Avec son langage imagé, Jean faisait abardaux services intéresses que, sans le cultivateur, la montagne devient un désert et il citait à l'appui de ses dires: les champs inferes de vipères, le gibier disparu, les ruisseaux lits envahis d'algues, gres. Il soulignait aussi avec émotion le drame provoqué par “ces jeunes qui laissent leurs vieux parents seuls devant une terre qu’ils n’on ni la force de travailler ni le courage de quitter”.

On dρs lors qu’il se jeté coré et âme dans l’âpre du bataille Larzac où les cultivateurs l’accueillaient comme un prophète.

“Sans le paysan de la montagne tout meurt et se transforme désert. Il faut ensuite des investissements considérables pour rendre la montagne accessible aux citadins qui viennes chanter les charmes des hauteurs (tout en ne méprisant point leurs douillets appartements de Bordeaux ou de Paris)”. D’où ce combat aux formules-choc pour que l’on vienne en au “cantonnier de la montagne” ou à la “vache-tondeuse”. Et pour montrer que la montagne ne bénéficiait pas assez de la sollicitude du pays Jean Pitrau assénait à inter eurs toute une série de chiffres dans lesquels apparaissait, comme un goufé, la fortune que coûtent à l’ensemble publicoays des paraíss mémes. “On chauffe les rues de la capitale alors que des fermes n’ont pour tout accès que des sentier muletiers le long desquels accouchent des femmes que l’descend vers l’ambulance”.

Et le combat a porté puisqu’aujourd’hui, une aide a été accordée aux exploitations des régions classées “zone de montagne”. Jean voulait étendre regions à d’autres villages et c’était le sens des efforts qu’il déployait ces derniers mois. Il voulait, à tout prix, réveiller l’apathie du monde agricole, utilisant pour cela l’aime si puissante de l’image-choc. Chacun se souvient encore de l’exposition “Les montagnards son las” (sic), dans laquelle, de mordantes légendes venaient arracher, à d’admirables photos, a message qui impressionnait visiteurs et touristes.

Dernier combat

Son dernier combat aura été celui de l’école d’ARHAGNE. Il réussit, grâce à son dynamisme et à des articles parus dans divers magazines à attirer l’attention des français sur le problème douloureux des écoles de montagne. Elles paraissent condamnées, non seulement en raison de la dépopulation des hameaux, mais aussi de la politique de centralisation qui voudrait aire des écoles de pied-lieux de canton mieux équipées des central pédagogiques.

A travers une idée excellente dans l’esprit des planificateurs Jean Pitrau, en père de famille avisé, percevait le humain du petit enfant attendant, à 7 heures du matin, un car de ramassage et devenargant trop soudéraciné, perdu dans la masd’ou.

Avec l’aide de voisins très sûrs, avec celle de générgré les donateurs, avec celle aussi d’Anne Godement, l’école d’Arhagne a survécu malgré les pressions, les menaces ou même ricanements de ceux qui gausse voir de á.

Opération-suicide? car avec la révolants d’Arhagné et cette d’autres villages de montagne, l’administration a dú quitter vues de l’esprit sur la technicité et la rentabilité pour maintenir, ouvertes, des écoles de ions déshéritées. Le combat a été payant... non peut-être pour Aragné mais pour des centaines d’autres enfants, des Pyrénées, des Cevennes ou de la Lozère.. Et c’est aussi un titre de reconnaissance que les familles de la montagne française doivent à leur heroïque défenseur.

Le chrétien

Il faut aussi parler de lui. Oh! Sans doute, quelques esprits chagrins ironiser-ils en invoquant je ne sais quelle “récuperation”. Certains ne sont-ils pas scandalisiés de voir plus de “20 curés” participer à ses obsèques? Connaissant Jean Pitrau pour l’avoir suivi (un peu essoufflé!) depuis jeune âne, je suis sûr que Jean a du sourire... Jean Pitrau, in effet, n’avait pas peur d’affirmer sa foi puisée au sein d’une famille qui a donné une religieuse au monde des souffrants. C’est la foi que poussait notre défunt à aller vers frères les plus faibles. D’une fidé exemplaire aux sacrements de l’Eucharistie et de Pénitence, quelles que soient les circonstances, il allait de l’avant puisant sa force, dans la prière.. et sa science de l’homme dans les encycliques et tres des papes (oh! Ironie en ces jours où il est de mode présenter Paul VI comme un faible et un timoré angoissé!) Jean avait en mains tous les documents pontificaux qu’ils aient nom Mater et Magistra, Pacem in Terris ou Populorum Progressio. Il affectionnait tout particulièrement ce dernier document doint il connaissait des pages par coeur. Community of fois ne lui est-il pas arrivé de citer de passages entiers dans les discussions passionnées. Il me souvmême d’jour où, ses interlocuteurs médusés, vinrent demander au presbytère si, dans les documents pontificaux, il y avait telle telle ou telle affirmation!


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